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Triste Destinée

Derniers commentaires
22 décembre 2007

Nan

Nan je ne suis absolument pas véxée...

Nan je ne me sens absolument oubliée...

Mais merde ! J'aurais pu attendre combien de temps avant d'avoir au moins un message ?

L'éternité !

Je suis quoi ? Juste là pour décorer ? Y a moins encombrant quand même...

J'aurais pu m'inquièter combien de temps encore ? Je devrais modifier combien de fois ce que j'avais prévu ? Encore une fois c'est moi l'abrutie qui s'inquiète pour rien alors que tout se passe bien.
C'est encore moi qui ne dors que d'un oeil et qui pleure de rage parce que je ne me sens presque pas mise sur le côté.

Je ne suis pas une pute!

Je peux juste te voir quand ça t'arrange toi, faire ce que tu veux qu'on fasse, aller où tu veux que nous allons... J'ai droit à quoi ? Un message laissé en vitesse sur msn juste pour dire d'au moins me laisser un message... Puis on me dit que j'exagère. Peut-être.

Je ne suis pas un jouet !
Je ne suis pas un jouet !
Je ne suis pas un jouet !
Je ne suis pas un jouet !
Je ne suis pas un jouet !

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21 décembre 2007

C'est toi

Maman c'est toi qui a été malade...

398

Pourtant maman, c'est moi que la maladie a terrassée

18 décembre 2007

Mouton...

J'ai un mouton,
Mais il n'est pas rond,
Il a des boucles soyeuses de laine,
Et ne le retient nulle chaine,
Il y emprisonne mes peines,
Qui contre tous se déchainent,
Il me cajole,
Il me console,
Tout deus assis sur le sol,
On s'aime,
Notre amour n'est plus le même,
Après tant de temps,
D'éloignement,
L'amour est renforcé,
De cet "exil" forcé,
J'avais besoin de chaleur,
Il m'a ouvert son coeur,
Nous avons appris nos malheurs,
Et nos bonheurs.
Mon mouton,
Il ne tourne pas rond...
Mais je l'aime comme ça

285

Text by Shadow 17/12/07 à 00h003

17 décembre 2007

Petit Prince

Salut toi l'étoile filante
Ici-bas c'est le petit prince
Entends-tu les sirènes chantent
Le souffle de la fin qui vient

Combien de nuits que je te suis
Et les ailes n'ont pas poussé
Puisque cette nuit c'est écrit
Je m'en vais

Adieu mon amour perdu
Mais que la paix nous sauve enfin

Oh non ne pleure pas mon ange
Non ce n'était qu'un mauvais rêve
Mais tu sais qu'en ces jours étranges
Le monde crève

Adieu mon amour perdu
Mais que la paix nous sauve enfin
Un jour

SAEZ

395

C'est  alors qu'apparut le renard :
Bonjour dit le renard.
Bonjour, répondit poliment le petit prince, qui se retourna mais ne vit rien.
Je suis là, dit la voix, sous le pommier...
Qui es-tu? dit le petit prince. Tu es bien poli...
Je suis un renard, dit le renard.
Viens jouer avec moi, lui proposa le petit prince. Je suis tellement triste...
Je ne puis pas jouer avec toi, dit le renard. Je ne suis pas apprivoisé.
Ah! pardon, fit le petit prince.
Mais, après réflexion, il ajouta :
Qu'est-ce que signifie "apprivoiser" ?
Tu n'es pas d'ici, dit le renard, que cherches-tu?
Je cherche les hommes, dit le petit prince. Qu'est-ce que signifie "apprivoiser" ?
Les hommes, dit le renard, ils sont des fusils et ils chassent. C'est bien gênant !
Il élèvent aussi des poules. C'est leur seul intérêt. Tu cherches des poules?
Non, dit le petit prince. Je cherche des amis. Qu'est-ce que signifie "apprivoiser"?
C'est une chose trop oubliée, dit le renard. Ca signifie créer des liens...
Créer des liens?
Bien sûr, dit le renard. Tu n'es pas encore pour moi qu'un petit garçon tout
semblable à cent mille petits gerçons. Et je n'ai pas besoin de toi.
Et tu n'as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'un renard semblable
à cent mille renards. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre.
Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde...
Je commence à comprendre, dit le petit prince.
Il y a une fleur... je crois qu'elle m'a apprivoisé...
C'est possible, dit le renard. On voit sur terre toutes sortes de choses...
Oh! Ce n'est pas sur terre, dit le petit prince
Le renard parut très intrigué :
Sur une autre planète?
Oui.
Il y a des chasseurs, sur cette planète-là?
Non.
Ca, c'est intéressant! Et des poules?
Non.
Rien n'est parfait, soupira le renard.
Mais le renard revint à son idée :
Ma vie est monotone. Je chasse les poules, les hommes me chassent.
Toutes se ressemblent, et tous les hommes se ressemblent.
Je m'ennuie donc un peu.
Mais, si tu m'apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée.
Je connaîtrai un bruit de pas qui sera différent de tous les autres.
Les autres pas me font rentrer sur terre.
Le tien m'appellera hors du terrier, comme une musique.
Et puis regarde! Tu vois  là-bas, les champs de blé?
Je ne mange pas de pain. Le blé pour moi est inutile.
Les champs de blé ne me rappellent rien. Et ça, c'est triste!
Mais tu as des cheveux couleur d'or.
Alors ce sera merveilleux quand tu m'auras apprivoisé!
Le blé qui est doré, me fera souvenir de toi.
Et j'aimerai le bruit du vent dans le blé...
Le renard se tut et regard longtemps le petit prince :
S'il te plaìt... apprivoise-moi, dit-il.
Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n'ai pas beaucoup de temps.
J'ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaìtre.

On ne connaìt que les choses que l'on apprivoise, dit le renard.
Les hommes n'ont plus le temps de rien connaìtre.
Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands.
Mais comme il n'existe point de marchands d'amis,
les hommes n'ont plus d'amis.
Si tu veux un ami, apprivoise-moi!
Que faut-il faire? Dit le petit prince.
Il faut être très patient, répondit le renard.
Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe.
Je te regarderai du coin de l'œil et tu ne diras rien.
Le langage est source de malentendus.
Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près...
Le lendemain revint le petit prince.
Il eût mieux valu revenir à la même heure, dit le renard.
Si tu viens, pas exemple, à quatre heures de l'après-midi, dés trois heures je
commencerai d'être heureux. Plus l'heure avancera, plus je me sentirai heureux.
A quatre heures, déjà, je m'agiterai et m'inquiéterai; je découvrirai le prix du bonheur!
Mais si tu viens n'importe quand, je ne saurai jamais à quelle heure m'habiller le coeur...
Il faut des rites.
Qu'est-ce qu'un rite? Dit le petit prince.
C'est quelque chose de trop oublié, dit le renard.
C'est ce qui fait qu'un jour est différent des autres jours, une heure, des autres heures.
Il y a un rite, par exemple, chez mes chasseurs. Ils dansent le jeudi avec les filles du village.
Alors le jeudi est jour merveilleux! Je vais me promener jusqu'à la vigne.
Si les chasseurs dansaient n'importe quand, les jours se ressembleraient tous,
et je n'aurais point de vacances.
Ainsi le petit prince apprivoisa le renard. Et quand l'heure de départ fut proche :
Ah! Dit le renard... Je pleurerai.
C'est ta faute, dit le petit prince, je ne te souhaitais point de mal, mais tu as voulu que je t'apprivoise...
Bien sûr, dit le renard.
Mais tu vas pleurer! Dit le petit prince.
Bien sûr, dit le renard.
J'y gagne, dit le renard, à cause de la couleur du blé.
Puis il ajouta :
Va revoir les roses. Tu comprendras. Tu comprendras que la tienne est unique au monde.
Tu reviendras me dire adieu, et je te ferai cadeau d'un secret.
Le petit prince s'en fut revoir les roses :
Vous n'êtes pas du tout semblables à ma rose, vous n'êtes rien encore, leur dit-il.
Personne ne vous a apprivoisées et vous n'avez apprivoisé personne.
Vous êtes comme était mon renard. Ce n'était qu'un renard semblable à cent mille autres.
Mais, j'en ai fait mon ami, et il est maintenant unique au monde.
Et les roses étaient bien gênées.
Vous êtes belles, mais vous êtes vides, leur dit-il encore. On ne peut pas mourir pour vous.
Bien sûr, ma rose à moi, un passant ordinaire croirait qu'elle vous ressemble.
Mais à elle seule elle est plus importante que vous toutes,
puisque c'est elle que j'ai arrosée.
Puisque c'est elle que j'ai mise sous globe.
Puisque c'est elle que j'ai abritée par le paravent.
Puisque c'est elle dont j'ai tué les chenilles
(sauf les deux ou trois pour les papillons).
Puisque c'est elle que j'ai écoutée se plaindre, ou se vanter,
ou même quelquefois se taire.
Puisque c'est ma rose.
Et il revient vers le renard :
Adieu, dit-il...
Adieu, dit le renard.
Voici mon secret. Il est très simple:
on ne voit bien qu'avec le coeur.
L'essentiel est invisible pour les yeux.
L'essentiel est invisible pour les yeux,
répéta le petit prince, afin de se souvenir.
C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante.
C'est le temps que j'ai perdu pour ma rose...
fit le petit prince, afin de se souvenir.
Les hommes ont oublié cette vérité, dit le renard.
Mais tu ne dois pas l'oublier.
Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé.
Tu es responsable de ta rose...
Je suis responsable de ma rose...
répéta le petit prince, afin de se souvenir.

De Le petit prince par Antoine de Saint-Exupéry

15 décembre 2007

Peur

Te perdre j'en ai peur
Tellement peur
C'en devient une terreur
Qu'importe tous tes surnoms
Tu n'es pas nul
Tu m'as toujours soutenue
Laisse moi t'aider
Sans te préoccuper
De moi, je ne suis pas si importante...

Black_Rose_by_Ketmara

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15 décembre 2007

A l'aide

A l'aide !
Mais personne n'est là...
A l'aide !
Mais nul ne voit mes larmes...
J'ai mal de cette pesante solitude
J'ai mal de ne pouvoir t'aider,
Tout ce que je dirai ou ferai
Sera toujours vain,
Jamais je ne pourrais t'aider
Comme tu m'aides
Je me déteste...
Je me hais

171

Il y aura toujours ton sang sur mes mains

14 décembre 2007

Pourquoi

Pourquoi suis-je différentes?
Pourquoi ne suis-je pas comme vous?
Entourée de tant de gens ?
Qu'est-ce que j'ai fait ?
Pourquoi ce corps avec ses formes?
Ils me dégoutent...
Je voudrais être mince,
Maigre, voir mes os...

Être différente de tout ce que je suis,
Recommencer ma vie,
Sans moi,
Sans vide,
Sans peine...

Pourquoi j'ai mal ?
Aide moi Petit Prince...

126

14 décembre 2007

Envie

Envie de pleurer
C'est d'une stupidité,
Envie de partir,
De ne plus rien dire,
Envie de me taire,
Envie de disparaitre
Je ne suis rien
Je ne sers à rien

064

13 décembre 2007

Stupide

166

Je ne suis pas une princesse,
Juste une pétasse,
De seconde classe.
Je ne suis pas un rêve,
Juste un cauchemar sans trève,
Où tous crèvent.
Je ne suis pas gentille,
Pas même jolie,
Juste pareille aux autres filles.
Je suis juste une ombre,
Comme il y en a en si grand nombre,
Qui de ce monde partent en trombe
Courant jusqu'à leur tombe...

12 décembre 2007

Au commencement

Petite larme
Encore un pseudo,
Toujours des pseudos
Il y aurait une seul personne derrière
Tant de surnoms ?
Encore une question sans réponse...

L'ombre que je suis,037
Années après années
Ruine sa vie...
Mais de quelle vie je parle ?
Est-ce la mienne ou la vôtre ?

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Triste Destinée
  • Triste destinée qu'est celle des hommes. Elle est encore plus triste lorsqu'ils ont conscience que tout à une fin. Coincé dans son délire psychédélique, l'homme commence à réaliser qu'il n'est pas le centre du monde et qu'enfait il n'est rien.
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